Virus ? C’est Jésus le remède !
Avec l’épidémie de Coronavirus qui se propage, certains pourraient être tentés par la peur ou le désespoir. De fait, cette pandémie est à l’image de notre monde, qui ne va pas très bien : guerres, trafics, corruption, familles déchirées, conflits sociaux, pollution de la planète, abus sexuels dans tous les milieux… Que fait-on ? Nous cherchons des solutions… mais… ?
Quelqu’un a la solution pour remédier à tout ce mal et nous donner le bonheur. Il s’agit de Jésus, tout simplement ! C’est le meilleur vaccin. Il est justement venu pour les malades… de maladie, mais aussi d’amour. En effet, nous sommes tous des blessés par la vie, par notre pauvre humanité, nos défaillances, nos erreurs, nous égarements. Mais Jésus, Lui, est venu sur Terre, il y a deux mile ans, pour nous sauver et nous donner la vie éternelle. Pour nous guérir, aussi, comme il est dit dans l’Evangile de Matthieu : « En débarquant, il vit une grande foule de gens ; il fut saisi de compassion envers eux et guérit leurs malades. » (1) Cette foule de gens, c’est nous ! C’est pour nous que le cœur de Jésus bat la chamade ! 😍😍😍
Venu pour tous
Avec Jésus, pas de sélection, pas d’entretien d’embauche, pas de casting, pas de tests d’aptitude, ni encore moins de tests médicaux : Jésus est bel et bien venu pour chacun de nous, que nous soyons malades ou non : « Jésus, qui avait entendu, leur déclara : « Ce ne sont pas les gens bien portants qui ont besoin du médecin, mais les malades. Je ne suis pas venu appeler des justes, mais des pécheurs. » (2) Et cela tombe bien, car d’une façon ou d’une autre, il y a très peu de justes parmi nous : nous sommes tous pécheurs, car touchés par une maladie, d’une façon ou d’une autre ! Soignons notre âme avec Jésus !
S’approcher de lui comme il s’approche de nous
L’amour de Jésus, c’est le contraire d’un virus : au lieu de chercher à le fuir, il faut chercher à s’en approcher. Aux futurs chrétiens, Jésus donne une mission : « Guérissez les malades qui s’y trouvent et dites-leur : “Le règne de Dieu s’est approché de vous ». » (3). Précision : ce ne sont pas les chrétiens qui apportent la paix eux-mêmes, mais la Paix qui vient à travers eux, à travers leurs actions, leurs gestes de solidarité, de soin, leur écoute, aussi, leurs petites attentions pour leurs semblables, bref, leur amour des autres, sans distinction, de manière inconditionnelle. Et qui est-ce donc, ce règne de Dieu dont il faut s’approcher, si ce n’est Jésus lui-même, qui a soif, tout comme nous, d’être aimé de ses enfants ?
Le vrai risque : le confinement !
Le vrai risque, ce n’est donc pas d’être malade – même si cela reste très pénible – de subir une catastrophe, qu’elle soit personnelle, familiale, professionnelle, sociale, sanitaire, économique, écologique… même si là aussi, c’est bien dommageable.
Non, le vrai risque, c’est le confinement, l’enfermement chez soi, dans son petit confort personnel, et ne pas chercher à aller à SA rencontre. Le vrai risque, c’est de rester éloigné de Dieu et de son fils Jésus qui nous tend la main et veut nous donner ce bonheur. Confinés, nous serions alors « comme morts ». Ainsi, Saint Paul dit : « C’est pour cela qu’il y a chez vous beaucoup de malades et d’infirmes et qu’un certain nombre sont endormis dans la mort. » (4) Qui veut être un mort-vivant ? Pas moi ! Choisissons tous Jésus, qui a dit aussi : « Je suis le chemin, la vérité et la vie » ! (5)
Le virus est là ? Jésus aussi, c’est le remède !
Terminons avec cette parole de l’Apocalypse : « Au milieu de la place de la ville, entre les deux bras du fleuve, il y a un arbre de vie qui donne des fruits douze fois : chaque mois il produit son fruit ; et les feuilles de cet arbre sont un remède pour les nations » (6).
Cet arbre de vie, c’est Jésus. Il est au milieu de nous, au cœur de nos villes. Au cœur de ce site, aussi. Il vous attend. Dans une église, sinon, peut-être ? Cet arbre magnifique, éblouissant, son feuillage reste vert, en hiver comme été – d’où le symbole sapin de Noël, quand Jésus vient nous sauver ! Sa lumière nous éclaire au cœur de nos nuits : c’est celle de sa Résurrection, à Pâques. Jésus donne donc un fruit régulier, pour que nous puissions le cueillir et vivre avec Lui. Jésus est le contraire du fruit défendu, celui qui a permis à Adam et Eve d’expérimenter le bien et le mal. Jésus est le fruit qui guérit, le fruit qui répare, le fruit qui console et qui apporte le réconfort : « Venez à moi, vous tous qui peinez sous le poids du fardeau, et moi je vous donnerai le repos. » (7). Jésus, c’est le vrai, le seul véritable remède pour nos vies ! Voulez-vous accepter Jésus dans votre vie ?
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Notes
(1) Evangile selon Saint Matthieu, chap 14, verset 14 – Mt 14,14
(2) Mc 2,17
(3) Lc 10,9
(4) 1 Co 11,30
(5) Jn 14 6
(6) Ap 22,2
(7) Mt 11,28.