A l’adolescence, j’étais dans une spirale d’autodestruction : insomnie, joints, alcool, scarifications (…) j’étais à fond dans le black et le death metal : satanisme, suicide, tout ce qui est morbide. Je vivais une angoisse et une oppression continuelle (…) A Paray le monial, j’ai rencontré un « metalleux », comme moi. Il m’a dit comment Jésus avait bouleversé sa vie (…) je me suis mis à genoux, j’ai prié. L’Amour de Dieu est déscendu sur moi, physiquement, m’a visité entièrement.